10 février 2009
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23:01
Ma conscience naturaliste voit déjà en l'arbre mort toute la richesse qu'il représente pour la biodiversité (mot devenu bien à la mode ces derniers temps, mais malheureusement rien qu'un mot auquel
peu d'actes soucieux de préservation sont associés...).
J'offre toujours à l'arbre mort une seconde vie. Et de là, ce squelette, outre son côté décoratif et artistique que la nature lui fait prendre, à son tour, accueille la vie, celle des autres. Gîte et restaurant de toute la petite faune xylophage, cache pour chauve-souris et oiseaux cavernicoles mais aussi loirs ou martre de par ses cavités, perchoir de guet pour la buse, la chouette ou le gobe-mouche et autres petits passereaux en migration,....un véritable plus dans l'environnement donc.
Mon souci d'éleveur, quant à lui, voit en quelques vieux pommiers tombés une aubaine pour son troupeau de moutons.
Après les quelques mois où la laine a pu présenter un petit avantage pour ses animaux, ceux qui arrivent vont bientôt faire de cette monstruosité sélectionnée par les humains une véritable plaie. Crasseuse, pleine de poussière et brindilles, ce sera alors une source de démangeaisons et agacements.
Pourtant, il faudra encore attendre 4-5 mois avant de débarrasser ses Ouessant de leurs guenilles.
l
Ce n'est pas Amadeus qui me
contredira...
...ni ses copains. Ces grattoirs obliques et à différentes
hauteurs permettent de soulager tous les points du corps.
Les fourches sont encore un plus pour que cela gratte
vraiment et permettent, avec les vieilles écorces et autres aspérités, de laisser un peu de laine (qui sera vite trouvée par la petite faune nicheuse du quartier).
Qu'est-ce que ça doit être bon! ( Il faudra que
j'essaie à mon tour...)
Et pour conclure, on peut, comme je l'ai fait sur certaines parcelles qui n'ont pas leurs arbres morts, planter carrément de vieilles branches, ici et là, pour rendre le même servcice. Car il faut bien reconnaître que le piquet de clôture, un peu lisse et vertical, n'offre pas les mêmes avantages pour se gratter partout sur le corps.
J'offre toujours à l'arbre mort une seconde vie. Et de là, ce squelette, outre son côté décoratif et artistique que la nature lui fait prendre, à son tour, accueille la vie, celle des autres. Gîte et restaurant de toute la petite faune xylophage, cache pour chauve-souris et oiseaux cavernicoles mais aussi loirs ou martre de par ses cavités, perchoir de guet pour la buse, la chouette ou le gobe-mouche et autres petits passereaux en migration,....un véritable plus dans l'environnement donc.
Mon souci d'éleveur, quant à lui, voit en quelques vieux pommiers tombés une aubaine pour son troupeau de moutons.
Après les quelques mois où la laine a pu présenter un petit avantage pour ses animaux, ceux qui arrivent vont bientôt faire de cette monstruosité sélectionnée par les humains une véritable plaie. Crasseuse, pleine de poussière et brindilles, ce sera alors une source de démangeaisons et agacements.
Pourtant, il faudra encore attendre 4-5 mois avant de débarrasser ses Ouessant de leurs guenilles.
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Et pour conclure, on peut, comme je l'ai fait sur certaines parcelles qui n'ont pas leurs arbres morts, planter carrément de vieilles branches, ici et là, pour rendre le même servcice. Car il faut bien reconnaître que le piquet de clôture, un peu lisse et vertical, n'offre pas les mêmes avantages pour se gratter partout sur le corps.