10 septembre 2009
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Après un an, toiser ses moutons demeure important jusqu'à 3-4 ans âge à partir duquel on peut considérer que la taille adulte est atteinte puisque la
croissance est terminée.
La périodicité sera encore régulière entre 1 et 2 ans, l'animal subissant toujours de grands changements dans sa physionomie à cette étape de sa vie.
De 2 à 3 ans, une paire de séances de toise suffisent. Et par la suite, une mesure annuelle après la tonte permet de vérifier le résultat de l'année précédente sur lequel on était resté.
Pour les anciens des Lutins, de par une
confiance totale en leur éleveur et l'habitude d'être manipulés, les choses sont faciles. Besk semble savoir ce que j'attends de lui et adopte une bonne position sous la toise bien placée au
garrot.
Mauvaise position. Il faut attendre
qu'il redresse la tête (de lui même, c'est mieux) avant de faire le relevé sur la toise et avancer celle-ci plus sur le garrot (bosse quelques centimètres plus en avant) .
Connaître par la suite la taille de chacun des animaux de son troupeau, permet de surveiller, entre les séances de mesures, celle des animaux en croissance par simple comparaison. C'est aussi une façon d'aiguiser son oeil et pouvoir estimer un animal nouveau lors de la visite d'autres élevages.
Pour finir, il faut se méfier, dans le cas d'un animal isolé sans congénères autour de lui, de sa physionomie qui peut amener à une fausse interprètation. Par exemple le longiligne qu'on suppose, à tort, grand, et inversement, l'animal dense qu'on imagine petit. La toise, encore elle, est là pour rétablir la vérité...
La périodicité sera encore régulière entre 1 et 2 ans, l'animal subissant toujours de grands changements dans sa physionomie à cette étape de sa vie.
De 2 à 3 ans, une paire de séances de toise suffisent. Et par la suite, une mesure annuelle après la tonte permet de vérifier le résultat de l'année précédente sur lequel on était resté.


Connaître par la suite la taille de chacun des animaux de son troupeau, permet de surveiller, entre les séances de mesures, celle des animaux en croissance par simple comparaison. C'est aussi une façon d'aiguiser son oeil et pouvoir estimer un animal nouveau lors de la visite d'autres élevages.
Pour finir, il faut se méfier, dans le cas d'un animal isolé sans congénères autour de lui, de sa physionomie qui peut amener à une fausse interprètation. Par exemple le longiligne qu'on suppose, à tort, grand, et inversement, l'animal dense qu'on imagine petit. La toise, encore elle, est là pour rétablir la vérité...