13 novembre 2009
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23:01
Les brebis ne sont pas les dernières à s'affronter de temps en temps. Il n'y a pas que les béliers. Ce n'est pas le choc puissant des cornages qui retentit alors,
mais bien celui, tout simplement, des boîtes craniennes.
Les raisons? On se demande parfois... On imagine dans d'autres cas. On constate clairement dans certaines situations.
Ce n'est pas pour un homme, pardon, un mâle. C'est plutôt du genre: "pousse-toi de mon herbe", "j'avais vu la pomme avant toi",..." lâche-moi les baskets" pour résumer.

Cela attire, quand cela dure (parfois plus d'une heure), quelques dames qui n'en reviennent pas que des brebis puissent ainsi se rabaisser à de tels comportements. On bêle dans tous les coins...tout le troupeau peut s'y mettre et venir voir le combat en encerclant les combattantes.
Du catch féminin ça divertit.
Que se disent-ils?
"Z'allez pas t'y pas arrêter!"
"Vas-y te laisse pas faire."
"Mets-lui en une."
"Dis-donc Germaine, t'as vu qui a commencé?"
"Mais mon Dieu, séparez-les."
....etc...etc....
Parfois, d'autres s'en mêlent, retroussent leurs manches et cognent l'une des deux sans que l'on comprenne pourquoi celle-là et pas l'autre. Qu'a-t-elle donc qui puisse créer tant de surexcitation et d'animosité? Est-ce hormonal et donc nous échappe?
"ça sonne! Finalement , si on
arrêtait."
Ce fut le cas ce jour-là et cela n'a pas pris des proportions extrêmes.
Loaren, à gauche, et Désirée, à droite, en sont restées là, encore sonnées après quelques minutes de joutes tout de même .
Y avait-il une vieille histoire entre cette mère et sa fille qui aurait refait surface à présent à l'âge adulte? (Pointe d'humour bien sûr...)
Les raisons? On se demande parfois... On imagine dans d'autres cas. On constate clairement dans certaines situations.
Ce n'est pas pour un homme, pardon, un mâle. C'est plutôt du genre: "pousse-toi de mon herbe", "j'avais vu la pomme avant toi",..." lâche-moi les baskets" pour résumer.

Cela attire, quand cela dure (parfois plus d'une heure), quelques dames qui n'en reviennent pas que des brebis puissent ainsi se rabaisser à de tels comportements. On bêle dans tous les coins...tout le troupeau peut s'y mettre et venir voir le combat en encerclant les combattantes.
Du catch féminin ça divertit.
Que se disent-ils?
"Z'allez pas t'y pas arrêter!"
"Vas-y te laisse pas faire."
"Mets-lui en une."
"Dis-donc Germaine, t'as vu qui a commencé?"
"Mais mon Dieu, séparez-les."
....etc...etc....
Parfois, d'autres s'en mêlent, retroussent leurs manches et cognent l'une des deux sans que l'on comprenne pourquoi celle-là et pas l'autre. Qu'a-t-elle donc qui puisse créer tant de surexcitation et d'animosité? Est-ce hormonal et donc nous échappe?

Ce fut le cas ce jour-là et cela n'a pas pris des proportions extrêmes.
Loaren, à gauche, et Désirée, à droite, en sont restées là, encore sonnées après quelques minutes de joutes tout de même .
Y avait-il une vieille histoire entre cette mère et sa fille qui aurait refait surface à présent à l'âge adulte? (Pointe d'humour bien sûr...)