4 décembre 2009
5
04
/12
/décembre
/2009
23:01
En lui-même, le mouton d'Ouessant dégage assez peu d'odeur d'autant qu'il est élevé en extérieur et ne se salit de ce fait pas autant que certaines races
confinées parfois un certain temps en bergerie.
Durant l'été, les animaux qui ont été tondus
ont une toison qui profite du grand air et il faudrait vraiment chercher à sentir son mouton d'assez près pour déceler au final une odeur effacée et pas désagréable en soi.
C'est en fin d'hiver et au
printemps, quand la toison est dense, que l'on peut percevoir par les journées douces les effluves douceâtres de la laine chaude. Rien de nauséabond pour autant et au contraire, quand on aime ses
moutons, une odeur un peu ennivrante qui s'ajoute comme un plus incontournable dans l'ambiance bien sympathique du troupeau.
Mais là, je parle pour moi.
En cette période des
accouplements, le bélier, quant à lui, prend une odeur un peu plus musquée dans son bouillonnement hormonal. Mais encore faut-il venir lui chuchoter quelques secrets à l'oreille pour s'en rendre
vraiment compte. Donc rien à voir avec la célèbre odeur très forte du bouc à l'origine de l'expression "Sentir le bouc..."
Ceux pour qui les odeurs auraient pu être un obstacle dans l'acquisition de moutons d'Ouessant peuvent donc se rassurer.
En ce qui concerne les fumiers c'est un tout autre problème qui, de toute façon, n'existe que s'il y a du laisser-aller côté entretien de la part de l'éleveur...


Mais là, je parle pour moi.

Ceux pour qui les odeurs auraient pu être un obstacle dans l'acquisition de moutons d'Ouessant peuvent donc se rassurer.
En ce qui concerne les fumiers c'est un tout autre problème qui, de toute façon, n'existe que s'il y a du laisser-aller côté entretien de la part de l'éleveur...