21 septembre 2009
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Les parasites que peut héberger un mouton sont nombreux et plus ou moins dangereux. Qu'ils soient internes ou externes, ils peuvent être la cause du déclin d'un
animal voire du troupeau (parfois la mort).
Externes (poux, tiques, gales, teignes...myiases, aoûtats....insectes piqueurs), on peut déceler certains alors que d'autres opèrent à l'insu de l'éleveur.
Internes, ils agissent, selon les espèces et leur stade de développement, dans les différentes parties du système digestif (caillette, foie, intestins,...) , poumons, sinus, muscles,...cerveau. Certains sont assez facilement décelables (ténia avec ses anneaux dans les crottes), d'autres peuvent être soupçonnés (toux, éternuements, amaigrissement), mais beaucoup agissent dans l'ombre.
Deux attitudes possibles. Laisser vivre ses animaux en attendant d'être confronté à un problème ou à titre préventif bourrer ses animaux de tout ce qui existe pour parer au pire. L'une n'est pas plus judicieuse que l'autre.
On peut en concevoir une troisième qui consiste à être curieux. Chercher à savoir quels parasites sévissent dans le secteur de son élevage. Faire analyser régulièrement les selles de ses moutons. Observer ses Ouessant le plus souvent possible pour déceler que quelque chose ne va pas, quand on les connaît bien. Les regarder de près lors de la tonte, pour les parasites externes.
En cas de souci particulier, seul le vétérinaire sera à même de délivrer le remède.
Savoir qu'il n'existe pas le produit miracle qui couvre toutes les agressions possibles. Mais certains offrent un large éventail de possibilités que l'on peut compléter avec un second, si vraiment on rencontre un problème.
Injectable ou buvable? Faire absorber la potion magique est plus simple mais pas toujours suffisant pour couvrir l'ensemble des problèmes.
Savoir que certaines molécules qui se retrouvent expulsées, empoisonnent semble-t-il la petite faune qui se délecte des crottes et de là .... les consommateurs de ces petites bêtes en pâtissent indirectement.
Croire que ses prairies resteront saines pour toujours et ses Ouessant aussi est naïf. La faune peut apporter des parasites, les foins introduits également. Enfin, on ne rentre jamais un nouveau mouton dans son troupeau sans l'avoir examiné, traité à l'extérieur et vermifuger à l'intérieur par précaution systèmatique.
Un minimum de traitements s'imposent donc, qu'ils soient préventifs ou curatifs selon certaines périodicités, et ce d'autant plus qu'il peut falloir plusieurs années pour faire disparaître des lieux (prairies) ces petites bêtes qui vivent chez des plus grosses, les parasites.
Buvables, injectables ou applicables, les produit antiparasitaires s'avèrent parfois indispensables pour retrouver une situation sanitaire correcte face aux problèmes des parasites.
Externes (poux, tiques, gales, teignes...myiases, aoûtats....insectes piqueurs), on peut déceler certains alors que d'autres opèrent à l'insu de l'éleveur.
Internes, ils agissent, selon les espèces et leur stade de développement, dans les différentes parties du système digestif (caillette, foie, intestins,...) , poumons, sinus, muscles,...cerveau. Certains sont assez facilement décelables (ténia avec ses anneaux dans les crottes), d'autres peuvent être soupçonnés (toux, éternuements, amaigrissement), mais beaucoup agissent dans l'ombre.
Deux attitudes possibles. Laisser vivre ses animaux en attendant d'être confronté à un problème ou à titre préventif bourrer ses animaux de tout ce qui existe pour parer au pire. L'une n'est pas plus judicieuse que l'autre.
On peut en concevoir une troisième qui consiste à être curieux. Chercher à savoir quels parasites sévissent dans le secteur de son élevage. Faire analyser régulièrement les selles de ses moutons. Observer ses Ouessant le plus souvent possible pour déceler que quelque chose ne va pas, quand on les connaît bien. Les regarder de près lors de la tonte, pour les parasites externes.
En cas de souci particulier, seul le vétérinaire sera à même de délivrer le remède.
Savoir qu'il n'existe pas le produit miracle qui couvre toutes les agressions possibles. Mais certains offrent un large éventail de possibilités que l'on peut compléter avec un second, si vraiment on rencontre un problème.
Injectable ou buvable? Faire absorber la potion magique est plus simple mais pas toujours suffisant pour couvrir l'ensemble des problèmes.
Savoir que certaines molécules qui se retrouvent expulsées, empoisonnent semble-t-il la petite faune qui se délecte des crottes et de là .... les consommateurs de ces petites bêtes en pâtissent indirectement.
Croire que ses prairies resteront saines pour toujours et ses Ouessant aussi est naïf. La faune peut apporter des parasites, les foins introduits également. Enfin, on ne rentre jamais un nouveau mouton dans son troupeau sans l'avoir examiné, traité à l'extérieur et vermifuger à l'intérieur par précaution systèmatique.
Un minimum de traitements s'imposent donc, qu'ils soient préventifs ou curatifs selon certaines périodicités, et ce d'autant plus qu'il peut falloir plusieurs années pour faire disparaître des lieux (prairies) ces petites bêtes qui vivent chez des plus grosses, les parasites.
Buvables, injectables ou applicables, les produit antiparasitaires s'avèrent parfois indispensables pour retrouver une situation sanitaire correcte face aux problèmes des parasites.