20 janvier 2011
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23:01
Copernic tout juste né le 18 avril 2010 durant l'après-midi. Un agneau qui, bien que mouillé, se montre costaud avec une tête massive.
A pourtant huit mois, en décembre, Copernic n'a pas évolué comme je pouvais m'y attendre lorsque je l'ai vu à sa naissance. Demeuré dans les petits gabarits, avec
une structure assez légère, il a encore le temps de changer dans les deux années qui viennent. Mais il semblerait que la place dans un ventre d'une mère de 45 cm (la plus grande de mes brebis)
lui ait permis d'être un gros agneau alors que son génotype semble le programmer pour une taille bien inférieure à ce que je pouvais craindre. Ouf!
A neuf mois, il a toujours cette allure de "petit capricorne". Aspect de par une pousse de cornes qui monte assez bien au démarrage à la base.
Son cornage s'annonce bien pour ce qui est de l'écartement, passant au-dessus de la pointe des oreilles. La corne ne vrille pratiquement pas sur elle-même donc pas
de risque de cornage qui finit avec une grande divergence des pointes. Pas une très grande épaisseur mais ce n'est que la construction de première saison, il devrait prendre plus de solidité dès
ce second printemps.
La repousse qui s'opère depuis ce début d'année est bien visible avec les anneaux de croissance tout neufs.
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Croissance
20 janvier 2011
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12:58
Elaphe, dont je suivais l'évolution en images, arrivant d'une part à ses trois ans et d'une autre étant parti vivre dans un nouvel élevage, je propose de
suivre deux nouveaux animaux sur le même principe.
Parmi les jeunes béliers de 2010 que je suis certain de garder, voici les deux élus appelés à paraître régulièrement ( plus fréquemment dans leur
jeunesse) dans cette catégorie.
Il y a certainement eu des fuites sur cette info avant que je la publie puisqu'ils se sont mis ensemble pour la photo!
Pourquoi ces deux là? Parce que je les garde pour leur allure, leur génotype et le fait que leur cornage est appelé à être au moins correct et agréable à
regarder. Pour la petite histoire de chez les Lutins, de plus ces jeunes sont les premiers à présenter un cornage sympathique parmi tous ceux que leur père a pu produire à ce jour.
D'abord Copernic.
Puis son copain Linné.
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Croissance
30 décembre 2010
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18:36
Elaphe, photographié aujourd'hui même, a maintenant 2 ans et 8 mois.
Un bien bel animal avec une allure mouflon.
Photographié comme je conseille de ne pas le faire, c'est à dire n'étant pas à son niveau. Ce qui écrase l'animal. Photographiant par dessus la barrière, je
fus contraint de ne pas respecter cette règle de prise de vue... Il n'en reste pas moins Monseigneur Elaphe.
Son port de tête naturel en fait bien une altesse. Dernières vues et derniers contacts avec son Altesse qui, suite à l'annonce passée il y a quelques
jours sur ce blog, va quitter définitivement les Lutins.
N'ayant plus à l'utiliser dans les dix années qu'il lui reste à vivre, autant qu'il fasse des heureux.
Un cornage d'exception comme je le souhaiterais pour tous mes béliers. Epaisseur, section, stries de croissance, bon enroulement, envergure sans excès, pas de
divergence....Un cornage qui va encore pousser ce printemps... Un cornage comme j'ai bien conscience que je n'en retrouverai plus jamais sans doute. Mais ainsi va l'élevage et
l'obligation de se séparer d'animaux de temps à autre, les parcs n'étant pas extensibles...
Je n'ai plus qu'à souhaiter que ses qualités réapparaissent un jour chez les Lutins grâce aux gènes qu'il a laissés dans certains animaux du troupeau.
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Croissance
24 juillet 2010
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21:03
Six mois après les dernières nouvelles, deux clichés d'Elaphe qui poursuit sa croissance. Mais il n'a pas daigné lever la tête, occupé à brouter.
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Croissance
22 février 2010
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"C'est toi Laurel, c'est moi Hardy. C'est toi le grand, c'est moi le petit ..."
En fait, ce sont Ibex et Golas, les deux extrêmes du moment chez mes béliers.
Bélier du type agouti hollandais, produit en grand nombre donc en Hollande et les pays limitrophes, à côté d'un antenais (jeune bélier) blanc cent
pour cent "béret et baguette sous le bras".
Un "Goliath" au maximum du standard taille (à bientôt trois ans) et un "David" dans le bas de ce standard malgré son jeune âge (un an en avril)....
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Croissance
12 janvier 2010
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23:01
Encore deux mois de plus pour Elaphe. J'irai vite sur ce bélier dont je présente l'évolution durant sa croissance. Il a souvent été aperçu dans d'autres articles
durant ces dernières semaines.
Dommage qu'il se soit raboté la corne droite cet été...

N'empêche que ce cornage représente pour moi un idéal (montée de départ, épaisseur, projection arrière, rayon de courbure, écartement, divergence très faible...) que j'aimerais
atteindre pour mes animaux à naître dans les années futures. J'attends de voir ce que sera sa troisième saison de pousse bien qu'il n'a rien qui puisse laisser présager d'une mauvaise
évolution.
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Croissance
11 novembre 2009
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17:46
Maintenant 18 mois et deux semaines pour Elaphe, bélier brun suivi en images dans sa croissance.
Il ne lui manque que du jabot pour parfaire sa prestance naturelle. Un port de tête haut au-dessus de la ligne du dos est une attitude habituelle chez lui, ce qui
n'est pas le cas chez tous les béliers.
Dans son rôle de satyre cornu
reproducteur, humant les effluves des femelles, au milieu des brebis spécialement sélectionnées pour lui cette saison.
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Croissance
10 septembre 2009
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22:01
Après un an, toiser ses moutons demeure important jusqu'à 3-4 ans âge à partir duquel on peut considérer que la taille adulte est atteinte puisque la
croissance est terminée.
La périodicité sera encore régulière entre 1 et 2 ans, l'animal subissant toujours de grands changements dans sa physionomie à cette étape de sa vie.
De 2 à 3 ans, une paire de séances de toise suffisent. Et par la suite, une mesure annuelle après la tonte permet de vérifier le résultat de l'année précédente sur lequel on était resté.
Pour les anciens des Lutins, de par une
confiance totale en leur éleveur et l'habitude d'être manipulés, les choses sont faciles. Besk semble savoir ce que j'attends de lui et adopte une bonne position sous la toise bien placée au
garrot.
Mauvaise position. Il faut attendre
qu'il redresse la tête (de lui même, c'est mieux) avant de faire le relevé sur la toise et avancer celle-ci plus sur le garrot (bosse quelques centimètres plus en avant) .
Connaître par la suite la taille de chacun des animaux de son troupeau, permet de surveiller, entre les séances de mesures, celle des animaux en croissance par simple comparaison. C'est aussi une
façon d'aiguiser son oeil et pouvoir estimer un animal nouveau lors de la visite d'autres élevages.
Pour finir, il faut se méfier, dans le cas d'un animal isolé sans congénères autour de lui, de sa physionomie qui peut amener à une fausse interprètation. Par exemple le longiligne qu'on suppose, à
tort, grand, et inversement, l'animal dense qu'on imagine petit. La toise, encore elle, est là pour rétablir la vérité...
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10 septembre 2009
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05:08
D'abord, il faut bien considérer que la taille de référence est celle prise sur le garrot de l'animal.
C'est à dire dans le prolongement des pattes avant, à la verticale, sur la petite bosse que forme ce qui correspondrait à nos épaules.
Prise à l'avant ou à l'arrière, la taille annoncée n'aurait alors plus de valeur car il faut en effet que les éleveurs expriment bien entre eux la même chose, lorsqu'ils parlent de la
taille de leurs animaux.
Dans le souci de suivre la croissance de mes moutons, je pratique des mesures régulières chez les jeunes, la première année. L'idéal serait de pouvoir le faire chaque mois ou tous
les deux mois, à la date anniversaire de naissance. On y trouve alors plusieurs avantages. Connaître bien sûr l'évolution de chacun et définir une courbe de croissance. Pouvoir comparer les courbes
des différents individus. Peut-être pouvoir conclure des tendances selon telle souche, telle lignée ou même telle brebis mère. Comme dans toute règle, on rencontre des exceptions pour des raisons
qu'on peut supposer (forme de la mère durant la gestation puis l'allaitement, problèmes de santé de l'agneau et parasites, manque de nourriture et carences, résurgence de caractères anciens
d'ancêtres côté père comme mère,...) mais d'autres nous échappent.
Lorsque le jeune se retrouve à être toisé, il est forcément stressé par la capture, la "machine infernale" et la contention ainsi que la nouveauté de ce genre d'expérience. Il faut alors attendre
que l'animal se détende puis prenne une position normale: pattes à la verticale, tête non baissée mais relevée (sans l'excès du mouton qui veut fuir)....détendu quoi. Le fait qu'il faut
nécessairement être deux pour que cette opération soit fiable ne fait que renforcer la crainte et comme cela dure, l'agneau s'impatiente. Mais là aussi, certains moutons sont coopérants
et d'autres de véritables diablotins.
Plusieurs mesures s'imposent et on s'étonnera de trouver des différences notables. Eliminer celles qui s'écartent trop de la moyenne et définir une taille qui nous semble être celle où le mouton se
tenait le mieux. Les séances de mesures futures indiqueront si nous étions dans l'erreur.
Attention, il n'est pas question de prétendre donner une taille d'une exactitude rigoureuse mais savoir si son agnelle fait 32, 33 ou 34 cm à deux mois, ce n'est pas la même chose.
Enfin, se méfier d'une tendance à vouloir parfois trouver la taille que l'on souhaiterait selon qu'on préfère les petits animaux ou ceux un peu plus grands.
Pelote maintenue par deux personnes. C'est
pour elle une première sous la "guillotine" mais cela se terminera bien.
Ici, l'agnelle se tient encore mal et la barre de mesure est en mauvaise position à l'avant du garrot, donc sur le cou.
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Croissance
9 septembre 2009
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15:58
Published by dominique morzynski
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Croissance