Il est des lieux où les Lutins passent plus de temps qu'en d'autres en cette période.
Comme ici sous les chênes à la recherche des derniers glands demeurés cachés. Mais ils deviennent rares.
Ou encore sous les châtaigniers. Là c'est toujours la profusion, les grandes feuilles de ces arbres ayant bien dissimulé les friandises et certaines bogues tombées recroquevillées à l'automne laissant enfin leurs châtaignes accessibles.
Qui cherche ...
... trouve!
Après trois mois de consommation, la ressource demeure encore relativement abondante en plein janvier.
En alternance avec les séances à pâturer, croquer quelques marrons glacés après des nuits de gel vous soutient moralement et physiquement.
Une aubaine que disposer de ces essences centenaires sur les parcs des Lutins! Alimentation nourrissante assurée en pleine période de construction des petits dans les ventres.