Au moment de la tonte, on imagine (en partie) ce qui attend le tondeur, quand on découvre le Ouessant en question à déshabiller.
Voici le type de brebis que je chéris. Elle a pensé à moi et a fait de gros efforts pour la circonstance. La toison est inexistante sur les parties inférieures qui ne sont plus couvertes que de poils qu'il est inutile de couper. Théoriquement du temps de gagner, du stress en moins et une laine qui devrait être déjà bien décollée de la peau sur le reste du corps et de ce fait agréable et facile à tondre (mais j'ai bien dit théoriquement).
Je dirais: "Fait preuve d'efforts mais peut mieux faire..."
Un futur calvaire. Aucun effort pour son berger de la part de cette brebis. Tout le ventre est densément enlainé et un certain découragement gagne mon esprit quand je découvre une telle situation qui théoriquement s'annonce bien difficile...
Mais je dis bien dans chaque cas, théoriquement, car d'autres paramètres peuvent venir compliquer ou améliorer les choses. Propos du prochain article...