27 mai 2010
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17:33
Le Ouessant consomme peu les chardons même s'il s'y essaie parfois quand ils sont sur pied. Arraché ou coupé, et alors fané, il tente bien plus certains qui
semblent s'en délecter.
Les graines, emportées par le vent, s'installent d'autant plus facilement que le terrain tend vers le surpâturage (si la plante est commune dans le
secteur et apprécie le type de sol de l'élevage).
Heureusement, certains insectes limitent à leur façon l'envahissement, en s'attaquant, comme ici, aux parties florales.
Par contre, certaines variétés de chardons se propagent également par le système racinaire. Les arracher limitent leur existence, mais ce n'est donc pas
gagné.
Comme pour d'autres indésirables, l'association de différents types d'herbivores sur la parcelle permet d'en limiter certaines ( moutons, chèvres, ânes,
chevaux, vaches, n'ayant pas les mêmes gourmandises).
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Elevage
22 mai 2010
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20:42
Une seconde naissance, cette saison, d'un jeune blanc fortement pigmenté (provisoirement).
Huxley, jeune bélier blanc caché sous une tenue juvénile roussâtre (48 h).
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Agneaux 2010
19 mai 2010
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07:15
La ronce, comme d'autres épineux (prunelier, aubépine,...), est une excellente barrière naturelle interdisant fuite comme intrusion. Cependant son mode de
propagation, outre les graines, est très efficace pour la plante puisque jetant ses rameaux nouveaux à l'assaut de l'espace libre, ceux-ci prennent racine étoffant ainsi le buisson. Les moutons
sont gourmands de ses feuilles. Tout irait donc bien si les épines n'étaient là pour provoquer parfois quelques drames.
Les tiges auxquelles le Ouessant peut se frotter dans ses activités, peuvent se prendre dans la toison surtout si elle est épaisse. Accroché, l'animal se
débat et s'entortille un peu plus. Sa libération ne peut alors se faire que par l'intervention de l'éleveur qui coupera la laine.
Pris dans ces pièges, adultes comme agneaux, s'épuisent et peuvent demeurer prisonniers longtemps. Si on ne les trouve pas assez tôt, fatigue, froid,
pluie...font que la mort met fin au calvaire.
Il convient donc de veiller à ne pas laisser les ronces gagner sur l'espace de vie de ses Ouessant au risque d'être un jour confronté au drame.
(A noter qu'ils peuvent se prendre également dans des rameaux d'arbustes qui ne semblent pas être un risque potentiel, et pas seulement des épineux).
Là encore, je n'extermine pas les ronces mais les contiens derrière les clôtures. Un travail supplémentaire que vaut bien le plaisir des yeux qu'elles offrent en
fin d'été, sans parler de celui des ventres par ses baies appréciées des humains mais également de divers oiseaux, sans oublier les mammifères (muscardin, fouine, renard,...). Toute cette
petite faune y ayant trouvé parfois le gîte avant le couvert.
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Elevage
15 mai 2010
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22:01
Mi-chèvre, mi-bélier... ? cet auguste bélier
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Un dimanche - un bélier
14 mai 2010
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19:27
Phaeo, 24 h.
Agnelle blanche fortement pigmentée.
Pigmentation roussâtre qui s'estompera au fil des mois pour finir par disparaître.
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Agneaux 2010
12 mai 2010
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22:01
Autant certains agneaux naissent sans grand espoir de les voir un jour être dotés d'un cornage conséquent (absence de pivots), autant d'autres sont
pourvus précocément, dès la naissance, de cornillons en développement.
Gould, tout juste né, est de ces derniers et possède de petites cornes.
De larges pivots surmontés de cornillons d'au moins 5 mm.
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Cornage
12 mai 2010
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20:42
L'agneau se présente normalement en position du "plongeur", pattes avant en extension, le museau placé au-dessus. Si on élève en diverses variétés colorées de
toison, l'observation des sabots qui pointent permet d'avoir parfois une petite idée du résultat qui s'annonce.
Le dessous est toujours d'un blanc souple et cartilagineux qui permet de ne pas blesser la mère. Malgré tout, le fait de percevoir des sabots entièrement clairs
annonce la naissance d'un jeune qui sera blanc de toison.
C'est le cas. Bientôt la confirmation...
C'est gagné.
Mais certains sujets blancs ayant les sabots sombres, ce principe n'est valable que pour le type présenté en images, mouton blanc à sabots blancs.
Pour les sabots sombres, il faut attendre un peu plus de voir au moins le museau (sans se laisser tromper par le voile pâle de la membrane de la poche des eaux
qui peut encore le recouvrir).
Après cinq mois d'attente pour l'éleveur, les dernières minutes semblent bien trop longues quand on a la chance de surprendre une naissance.
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Agnelage
11 mai 2010
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20:23
L'agnelage peut être particulièrement stressant pour un nouvel éleveur (ou une nouvelle éleveuse). La vue du sang pouvant inquiéter inutilement.
Pas de panique, comme ici avec simplement la rupture du cordon ombilical qui a un peu éclaboussé autour de lui.
Pas de panique non plus lors de la perte du placenta qu'il convient de laisser apparaître de lui-même et laisser chuter sans intervenir. Lors de cet agnelage, la
brebis l'a perdu trois heures après la naissance du petit (cela peut être plus ou moins long).
C'est durant ces deux phases que la brebis peut se retrouver souillée par le sang. Si on ne détecte pas d'hémorragie significative, il n'y a donc pas lieu de
s'inquiéter.
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Agnelage
9 mai 2010
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22:01
Libby, agnelle âgée de 5 jours.
Thalès, agneau futur gris, encore drapé de sa membrane, va chercher à se lever.
Gould, agneau blanc de quelques minutes également.
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Agneaux 2010
8 mai 2010
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22:01
Published by dominique morzynski
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Un dimanche - un bélier