Toujours pas d'eau. Les prairies sont mortes.
Seuls quelques rares criquets, aux populations bien amoindries cette année, survivent encore.
Et puis il y a les Lutins prisonniers des lieux qui n'ont d'autre option que se remplir la panse de ce qu'ils trouvent à grappiller ici et là.
Heureusement, le berger veille. Foin de l'année à volonté, céréales au petit déjeuner, seau de minéraux à lécher à disposition comme à l'ordinaire et eau propre en permanence pallient aux manques imposés par la sécheresse... pour longtemps encore sans doute.