23 février 2010
2
23
/02
/février
/2010
19:10
Février 2010 amène le troupeau à devoir vivre une quatrième semaine de vague de froid cet hiver, avec neige et gel intense.
Mes Lutins finissent par se décider à se lever de leur abri en milieu de matinée...
...pour aller s'adonner au plaisir et besoin de paître.
Published by dominique morzynski
-
dans
Ethologie
22 février 2010
1
22
/02
/février
/2010
21:01
"C'est toi Laurel, c'est moi Hardy. C'est toi le grand, c'est moi le petit ..."
En fait, ce sont Ibex et Golas, les deux extrêmes du moment chez mes béliers.
Bélier du type agouti hollandais, produit en grand nombre donc en Hollande et les pays limitrophes, à côté d'un antenais (jeune bélier) blanc cent
pour cent "béret et baguette sous le bras".
Un "Goliath" au maximum du standard taille (à bientôt trois ans) et un "David" dans le bas de ce standard malgré son jeune âge (un an en avril)....
Published by dominique morzynski
-
dans
Croissance
20 février 2010
6
20
/02
/février
/2010
23:01
Chti des Lutins (10 mois) , en avant vers la vérité de son futur réel physique...
Published by dominique morzynski
-
dans
Un dimanche - un bélier
7 février 2010
7
07
/02
/février
/2010
23:01
Comme Grichka (deuxième été), les Lutins font une pause et leur berger se laisse aller à les imiter.
Savoir prendre le temps et attendre, une leçon du monde animal.
A bientôt.
Published by dominique morzynski
6 février 2010
6
06
/02
/février
/2010
23:01
Golas des Lutins (10 mois), chez qui la croissance repart depuis quelques semaines après la pause des "ténèbres hivernales"
Published by dominique morzynski
-
dans
Un dimanche - un bélier
6 février 2010
6
06
/02
/février
/2010
16:40
Au niveau nourriture, "le trop" n'est pas mieux que "le pas assez", mais le "pas assez" ne saurait être mieux que "le trop".
Trop d'herbe tendre, de pain, de céréales, de granulés, de fruits, de glands,.....peuvent apporter des problèmes plus ou moins graves allant du simple désordre digestif à la mort.
Mais le trop par excès d'engraissement a des conséquences sur le métabolisme et divers points physiques et organiques du mouton. On lui reproche également de ne pas permettre la
fécondation chez la brebis ou encore de favoriser des agneaux trop gros, difficiles à mettre au monde.
Le pas assez , dangereux pour la santé (et la vie) de l'animal peut avoir des répercussions sur la gestation et la réussite de la reproduction, l'état de l'ageau à sa naissance, la
croissance de ce jeune et la durée de vie de l'adulte.
Penser à équilibrer la nourriture c'est aussi prévoir les apports en vitamines, minéraux (oligoéléments), tout au long de l'année, par la mise à disposition de blocs ou seaux à lècher.
Veillez sur ses Ouessant pour leur bien-être permet d'apporter à l'éleveur la satisfaction de réussir son élevage.
L'herbe verte de fin de printemps/début d'été, la meilleure source de nourriture naturelle (d'ailleurs la période la plus
favorable pour des foins nourrissants) rend l'animal rempli et dodu, mais cela n'a qu'un temps....(Daguet des Lutins du M.)
Published by dominique morzynski
-
dans
Elevage
4 février 2010
4
04
/02
/février
/2010
23:01
Le mouton est curieux car déjà inquiet de nature. Il peut ensuite passer au stade simplement intrigué pour finir par être très intéressé si le danger ne semble pas
présent.
Comme chez les humains, plus ils sont jeunes plus ils sont joueurs. Et parmi eux certains le sont encore plus...trait de leur caractère.
Prunelle est une inconditionnelle du jeu. Tout est prétexte. Elle a trouvé dans un chat domestique tout aussi curieux et joueur, un partenaire aussi vif
qu'elle.
Mais dans ces jeux quotidiens, il y a a parfois des limites à ne pas dépasser côté félin ...
Published by dominique morzynski
-
dans
Ethologie
3 février 2010
3
03
/02
/février
/2010
23:01
" Du foin, ils en ont..." C'est ce que j'entends dire parfois, mais à y regarder de plus près la vérité est parfois
autre.
Dans un endroit abrité de la pluie, il est bon de laisser en permanence du foin aux Ouessant qui peuvent ainsi s'y approvisionner selon leurs besoins et mieux équilibrer
ainsi leur alimentation en fonction de la quantité et qualité de l'hebe verte dont ils disposent.
Cependant ce foin abandonné depuis trop longtemps peut ne plus présenter d'intérêt par manque d'appétence ou de qualité nutritive.
En cas de consommation quotidienne, il est bon de brasser les volumes restant dans le râtelier afin que les animaux, les plus jeunes en particulier, puissent y trouver encore pitance.
En effet, herbe sèche n'est pas forcément foin comme je le présente ci-dessous.
Voici, ci dessus, l'aspect interne d'une botte qui vient d'être ouverte. On y note une multitude de particules intéressantes, feuilles, fleurs, épis, tiges
fines. Ce sont ces éléments que le mouton va d'abord rechercher et exploiter. L'entrain qu'il manifeste en mangeant ce type de produit en montre tout l'intérêt.
Par contre, ce qui peut rester au final quand le meilleur a été consommé ne présente plus guère d'intérêt si ce n'est que remplir le ventre de l'animal dénutri qui
avalera tout ce qu'il peut (si ses dents le lui permettent).
Dans ce qu'on appelle les refus de foin, on ne trouve plus que les grosses tiges creuses des herbes, c'est à dire la paille qui ne présente qu'un intérêt nutritif limité. D'ailleurs, les moutons ne
s'y trompent pas. Tout cela ne mérite que de rejoindre la litière de la cabane alors qu'on peut croire parfois, à tort, qu'il reste du foin. Il n'y a aucun gaspillage en cela puisque le refus
trouve son utilité pour remettre "dusec et du propre" sur une couche souillée et humide.
Published by dominique morzynski
-
dans
Elevage
2 février 2010
2
02
/02
/février
/2010
23:01
Parfois les fils n'aiment pas cette expression, parfois ce sont les pères qui n'apprécient pas...
Chez les moutons cela semble être le cas également parfois, à l'exemple d'Ouranos qui prend le pas sur Grichka son fils, comme s'il avait honte.
D'autant que pour avoir été proche lors de la photo, je l'ai entendu lui dire: "On ne se connaît pas, va te débarbouiller"...Comme quoi!
Published by dominique morzynski
-
dans
Clin d'oeil
1 février 2010
1
01
/02
/février
/2010
23:01
Sidney est toujours stérile malgré le traitement vétérinaire prodigué à l'automne. Alors qu'elle avait eu un jeune normalement lors de son deuxième
printemps, elle s'est retrouvée être stérile chaque année par la suite. C'est la seule brebis du troupeau à rencontrer ce genre de problème.
En 2006, à l'âge de deux ans, elle était primée "Miss France". Il est vrai que sa petite taille et sa morphologie en font un petit bijou. Je ne rage que plus de ne pouvoir depuis récolter le fruit
qu'elle pourrait donner et conserver ainsi ses qualités dans l'avenir de mon troupeau.
Les aléas de l'élevage...
Published by dominique morzynski
-
dans
Reproduction